« L'exigence de liberté est une exigence de pouvoir. » ▬ Ailis Ó Meadhra . Complete

Ó Meadhra
..................................Ailis Sinead
« YOU'RE BRITISH, DEAR. FAKE IT. »____

« L'exigence de liberté est une exigence de pouvoir. » ▬ Ailis Ó Meadhra . Complete 2ni8qoh

nescio vos

Nom : Ó Meadhra.
Prénom(s) : Ailis Sinead.
Date et lieu de naissance : 27 novembre 2990, au Caisleán Ó Meadhra (Comté de Kerry, Irlande du Sud).
Âge : Dix-huit ans.
Année d'étude : Huitième année.
Nationalité : Britannique. Irlandaise, vous dirait-elle plutôt.
Titre : Depuis nombre d'années déjà, les Ó Meadhra possèdent pour fief le comté de Kerry. Connus et reconnus pour leurs faits armes et duellistes de grand talent, les Ó Meadhra ont toujours servi la couronne avec loyauté et compétence. Ils sont, en Irlande, le bras armé de sa Majesté. En tant que nièce du Comte de Kerry, Ailis porte le titre de Comtesse de Kerry.
Ascendance : Sang-mêlée. Les Ó Meadhra ne sont plus purs depuis plusieurs siècles maintenant. S'ils s'en sentent diminués ? Etait une époque où ils avaient eu le choix entre la fille à la puissante magie d'une famille de sang-mêlés et l'enfant inutile d'une famille de sangs purs riches. Seulement, les Ó Meadhra étaient déjà riches. Le choix était donc vite fait.
Lieu de résidence actuel : Caisleán Ó Meadhra, le château familial, situé à proximité du Loch Léin, un des lacs de Killarney. Et Poudlard en période scolaire.

Particularité : Pratique l'Ancienne Magie. L'Ancienne Magie est désormais un art propre aux Ó Meadhra. Avec l'apparition de la baguette, rares sont les familles à avoir continué à pratiquer les anciens rites et à apprendre les complexes et instables - mais ô combien plus puissantes - formules de l'ancien temps : il était plus simple d'user de la baguette et des facilités qu'elle apportait plutôt que de s'embêter avec les anciennes et complexes pratiques magiques. Parmi ces familles archivistes, seuls les Ó Meadhra survécurent aux siècles de rivalités et de manigances entre familles archivistes. L'apprentissage de l'Ancienne Magie en est généralement très long, dangereux et difficile mais dans la famille, c'est un art qui se transmet de génération en génération et ce, dès les premières manifestations magiques.

Outre les rites perdus, les anciennes formules, les vieilles recettes et les antiques malédictions, les Ó Meadhra ont également conservé l'apprentissage de la Magie sans la baguette. Bien que ce soit plus fatiguant qu'avec la baguette, les pratiquants assidus et doués de l'Ancienne Magie sont parfaitement capables de lancer des sorts modernes en utilisant uniquement leur corps comme canalisateur magique et leur volonté comme vecteur. De cette pratique de l'Ancienne Magie, ils tirent une sensibilité particulière vis-à-vis de la Magie, la ressentant comme un frisson à fleur de peau, et certains sorts très complexes sont pour eux d'une facilité déconcertante dès lors qu'ils utilisent leur baguette, car, contrairement aux sorciers de base qui font cela à l'instinct, ils savent parfaitement comment canaliser et diriger leur énergie magique.

Cependant, la pratique d'une Magie aussi puissante et instable n'est pas sans conséquence. La magie propre aux Ó Meadhra est particulière. Le mélange des sangs avec d'autres lignées leur a permis de le cacher habilement mais contrairement à celles de la plupart des gens, la Magie de la lignée n'a pas assez évolué pour leur permettre de lancer certains sorts, parmi eux, des sorts basiques tels que le Wingardium, le Ferula et le Sortilège Quatre-Points ou d'autres plus compliqués comme le Patronus. Dans le cas où le sort connait un équivalent antique, comme le premier, cela ne pose guère trop de soucis... mais pour le Patronus, en revanche, c'est plus délicat.

cogito, ergo sum

Pour elle, Melchior c'est ... : Le Roi. L'autorité dans le pays. La personne qu'il faut éviter de contrarier. En dehors de cela, on peut faire ce qu'on veut tant qu'on n'est pas pris, n'est-ce pas ? ... Pardon ? Oh, mais s'il devient trop gênant, on s'en débarrasse. Il n'y a rien d'absolu sur Terre. Sauf la mort, et encore, je suis sûre que Dieu doit négocier. Non, non. Bien sûr, ce n'est pas ça qu'elle vous répondra. Ne rêvez pas.
Pour briller sous les projecteurs, qu'est-elle prête à faire ? Le nécessaire pour peu qu'elle l'ait décidé. Après... lui est-il nécessaire ou a-t-elle seulement envie de briller sous les projecteurs ? La question serait plus pertinente.
Selon elle, quel est l'héritier le plus digne de la couronne ? A priori, Ailis vous répondrait qu'elle serait probablement la personne la plus apte. Histoire de voir votre tête. Si vous insistez un peu, elle vous fera un joli sourire et répondra qu'elle préfère Gabriel. Pourquoi ? Elle vous répondrait bien qu'entre les princesses qui font tapisserie et l'autre satyre névrosé, c'est encore le seul qui ait l'air normal. Accessoirement, c'est également celui qui a l'air le plus manipulable dans le sens des intérêts de la demoiselle.
Que pense-t-elle de l'arrivée de la cour à Poudlard ? Seigneur, n'ont-ils rien d'autre à faire de leurs journées ? Pas étonnant qu'ils aient de moins en moins de place dans leurs vêtements.
Une hypothèse sur ce qui se prépare ? Si cela peut l'aider dans ses projets, alors elle en fera partie, c'est une conviction.

ad honores

Composition de la baguette : Croc de Basilic. Sureau. 27,8 cm. Plutôt rapide mais très rigide, cette baguette est particulièrement précise et puissante. Cependant, son manque de flexibilité la rend extrêmement difficile à manier pour les sorts de Métamorphose.
Patronus : Renard.
Épouvantard : Focifère. De mauvais - très mauvais - souvenirs de punition sont liés à cet oiseau...
Miroir du Risèd : Récupérer ses terres.
Animal de compagnie : Hibou des marais. Ulchabhán - oui, elle était inspirée quand elle lui a donné son nom. Uu
Balai de Quidditch : La demoiselle ne pratique guère le Quidditch, elle n'en a pas le temps. Ni l'envie. Cependant, elle suit les matchs d'assez près, son Comté abritant l'une des deux prestigieuses équipes de Quidditch irlandaises. D'autant que ce sport est à la mode et qu'Ailis se doit d'être parfaite.
Lieu préféré dans Poudlard : Venelles dangereuses, c'est encore le seul endroit de l'école où on peut être tranquille. Cela ou alors le Fil du rasoir. L'endroit est plus bruyant mais Ailis aime les duels et surtout, elle a le goût de la victoire.

alter ego

Pseudo et prénom : Mnesyah. Elodie.
Âge : 21 ans, il paraît.
Sexe : ~~Fouteuse de m*rde~~ Fille.

Avatar choisi : Camilla Belle

Comment as-tu découvert le forum et qu'en penses-tu ? L'idée du forum m'est très sympathique. J'ai découvert le forum grâce aux deux fous qui m'accompagnent - Jacob et Nessa -. Nous cherchions un forum HP - enfin, ils cherchaient et moi, j'attendais de voir ce qu'ils trouvaient xD -. L'endroit me paraît sympa, le contexte est plaisant. ^^
C'est ton dernier mot ? Jusqu'au prochain. xD

crédit bannière : Misery Business

Ó Meadhra
..................................Ailis Sinead
« L'EXIGENCE DE LIBERTE EST UNE EXIGENCE DE POUVOIR. »____

« veni vidi vici »

Bien qu’ayant mêlé leur sang à des « non purs », la lignée des Ó Meadhra est l’une des plus anciennes familles du monde sorcier occidental. Ancienne lignée de sorciers du temps de Merlin et de Morgane, les Ó Meadhra grandirent en puissance, richesses et influence jusqu’à la défaite de Càel (de son vrai nom Padraig Ó Meadhra, mage noir de la fin du 18e siècle). De leur déchéance, les Ó Meadhra ne parvinrent à sauver que leurs archives dont le sceau privait de magie chaque personne qui tentait d'en briser l'intégrité sans être initié. Leurs biens matériels ayant été saisis par le Ministère de la Magie avant qu’ils ne puissent les cacher, ils durent, par décision ministérielle, aller s’installer sur l’une des îles de la côte irlandaise, dans un immense domaine rendu incartable, sous la garde d'Aurors et la surveillance permanente du Ministère.

Vint un temps où les officiels furent rassurés par leur bonne conduite (ni Grindelwald, ni Voldemort n’étaient parvenus à obtenir leur aide) et la famille fut été autorisée à sortir de son exil juste après la seconde guerre contre Vous-Savez-Qui et on leva la garde. Toujours installée dans ses terres d’exil (certaines mauvaises langues disaient qu’ils ne voulaient pas avoir à déplacer leurs nouveaux secrets et cadavres) et leur immense manoir protégé par tous les sorts et rituels imaginables (ils n’allaient tout de même pas renoncer à tous les efforts qu’avait fait le Ministère pour rendre leur retraite inaccessible), la lignée en profita pour redorer son blason, reformer ses anciennes alliances au moyen de mariages avantageux avec leurs filles et faire refleurir son ancien prestige.

Lors du retour de la monarchie, leur réputation, bien qu'encore entachée par l'infamant exil, s'était reconstruite. Leur fortune presque rétablie grâce au commerce d'objets magiques rares, ils n'avaient pourtant plus l'influence dont ils bénéficiaient à leur apogée. Et pourquoi ne pas aller plus loin encore qu'à l'époque de leur apogée ? C'était en tous cas l'ambition d'Eoghan Ó Meadhra qui pris le parti des monarchistes. Les Ó Meadhra furent donc parmi les premiers à rejoindre celui qui devint le futur Roi. Devenant le bras armé de la Couronne, ils regagnèrent en influence politique. N'étant pas de Sang Pur, ils n'obtinrent pas le rang espéré de famille ducale bien entendu mais leur loyauté et leur puissance magique leur offrit leurs terres d'origine en le comté de Kerry dont ils devinrent les seigneurs. Ainsi, la lignée, maintenant établie, put accroître sa richesse et sa puissance magique au niveau de son âge d'or et plus encore tandis que les familles ducales et les marquis étaient embourbées dans leur lutte d'influence. Que leur importait le titre de Duc si, tout en gardant les avantages et l'influence, ils étaient débarrassés des inconvénients. Les gens n'ont pas encore compris que c'est encore dans l'ombre que l'on évolue le mieux.

Par une après-midi d’Automne, on marie Rowanne Skellington à Brennan Ó Meadhra. L’une apportera une dot conséquente et l’autre des trésors de magie, patiemment accumulés au fil des siècles. Et de l’union naissent deux enfants.

Le premier tout d’abord. Ou plutôt la première : Léan. Première déception. L’enfant est une fille. Mais elle est belle, peut-être permettra-t-elle une alliance avec une grande famille. On la prépare à cette éventualité et l’enfant grandit. Un an, deux ans… Cinq ans, toujours aucun signe de magie : ce n’est rien, Léan est un peu paresseuse. Sept ans, aucun signe d’une once de magie : Léan aime se faire désirer. Onze ans, rien et pas de hibou de Poudlard. Et Brennan est bien obligé de regarder la vérité en face. Par dessus le marché, sa fille n’est qu’une vulgaire Cracmol : elle n’est même pas bonne à faire un mariage. Une attaque du Chemin de Traverse. Quarante huit morts et des centaines de blessés. En manque au moins une. Léan, touchée par un Sort Noir, est transportée d’urgence au manoir familial. L’enfant a un système immunitaire magique déficient et son père a refusé les soins : elle ne survivra pas. Brennan est soulagé : grâce au hasard, il n’aura plus à la cacher aux yeux du monde.

Le second ensuite. Bien plus tard par ailleurs. Et encore une fille : Ailis. Née prématurée, l’enfant ne crie pas, ne hurle pas. A peine née, on la croit muette. Que nenni, elle observe déjà le monde de ses yeux de chat sans un bruit, comme cela deviendra son habitude par la suite. Eduquée à l’ancienne comme sa sœur, Ailis vit dans une relative solitude, entourée d’une mère stricte et exigeante, d’un père qui ne vit que pour son nom et les archives familiales et des domestiques indifférents au sort de la fillette, déjà destinée à faire un mariage d’alliance pour la lignée. Celle-là est bien sorcière, elle le prouve assez tôt et les Ó Meadhra poussent un soupir de soulagement : Darrion, son frère cadet se croit déjà l'héritier de la famille, voilà qui le fera déchanter. La découverte de ses dons magiques ravit son père qui se rapproche de son héritière : il veut la sauvegarder, la préserver. Mais le rapprochement ne dure pas : le fils de son frère, né la même année qu'Ailis, se trouve également être un sorcier et il le fait savoir de façon retentissante.

Brennan, qui parait sa fille de mille trésors, s’éloigne de nouveau et Ailis, du haut de ses cinq ans, réalise qu’elle n’est rien, que si elle veut survivre dans cet univers, même ses cousins sont des adversaires. Elle se croyait Dame sur ce plateau d'échecs et c'est ce qu'elle est. Mais lui, il est Roi, pièce maîtresse d'entre toutes alors que c'est elle l'aînée. Alors qu'elle devrait hériter ! Alors la demoiselle apprend à exiger, à ordonner sans faire de vagues : notamment aux domestiques, bien trop dédaigneux à son goût, qui deviennent bientôt les cibles de ses insinuations et de ses sous-entendus. Elle apprend à jouer de ses avantages naturels : le sourire et l'air innocent.

La princesse, en grandissant, se mue en sorcière redoutable sous ses masques de petite princesse polissée. Certes, tant qu'elle n'est pas à Poudlard, elle n'a pas le droit de posséder sa baguette. Mais justement, les arts magiques auxquels elle est initiée se pratiquent sans. Les codex runiques que sa famille a patiemment rassemblés au fil des siècles, les parchemins, les premiers rites, les premiers mantras et les premiers exercices de méditation pour apprendre à ressentir la Magie. Elle sera introduite peu avant son cousin, c'est une première victoire pour elle. Et la preuve incontestable qu'elle est la meilleure, même si ce n'est que d'un cheveu, et donc celle qui devrait hériter.

A cela s'ajoutent tous les enseignements qui feront d'elle une parfaite poupée. Une parfaite petite dame sage. Et Ailis ne comprend pas pourquoi. Pourquoi lui a droit aux précepteurs qui lui enseigneront la gestion des terres alors qu'elle doit se contenter ces misérables cours d'intendance. Elle a beau redoubler d'efforts et toujours, le fait qu'il soit un mâle fait qu'il la supplante. Elle le déteste ce rival dont le hasard a fait qu'on le considérera toujours comme meilleur qu'elle par principe. Elle ne nie pas ses qualités et ses compétences, loin de là car il ne serait pas si agaçant et si redoutable autrement. Mais qu'il prenne sa place d'héritier pour acquise, qu'il ne la prenne jamais au sérieux que lorsqu'il est question de magie et jamais dès qu'il s'agit de l'héritage... cela la met hors d'elle sous le vernis policé de son sourire.

Leur entrée à Poudlard ne change rien à cet état de fait. Bien au contraire, le phénomène ne fait que s'amplifier. Car il est hors de question que l'un supplante l'autre, habitude qu'ils ont héritée de leurs pères respectifs. Notes, duels, pratiques et c'est à celui qui maîtrisera un exercice le plus vite, à celui qui y arrivera le premier ou simplement à celui qui le fera le mieux. Une rivalité qui pourrait être très saine, si elle n'était pas si féroce et si elle ne se cachait pas sous les masques parfaits d'une famille unie.

Le patriarche de la famille, leur grand père, voit leur rivalité s'affirmer, s'affiner et s'embraser comme il a vu celle de ses fils. Mais il fait rien. Cette confrontation stimule ses petits enfants qui, comme leurs pères avant eux, deviennent de futurs grands maîtres d'Ancienne Magie. Et lorsque Kieran devra hériter, il sera toujours temps de se débarrasser d'Ailis en la mariant avantageusement pour la lignée. Ailis a bien compris comment son grand-père fonctionnait. Elle a compris également que la mort du patriarche, survenue il y a un an, ne signifie pas qu'elle ne soit pas sacrifiée pour le prestige de la famille. Bien au contraire, Darrion, devenu le nouveau patriarche, lui a d'ores et déjà trouvé un fiancé.

Mais s'ils pensent qu'elle se laissera faire comme une sage petite fille, ils se trompent. Lourdement.

« nosce te ipsum »

On peut être ambitieux par nature. C'est ce que sont les gens le plus souvent. Ils courent après les choses, après tout et n'importe quoi pourvu que ce soit quelque chose qu'ils n'ont pas. Juste pour les posséder. Ailis, elle, est ambitieuse par choix. Elle ne veut pas tout avoir, et à dire vrai, elle ne veut qu'une chose : le comté de Kerry ainsi que son héritage. Ca ressemble à un caprice et ça en deviendrait presque obsessionnel. Car Ailis fait partie des gens de ce monde qui aimeraient mais ne peuvent pas. Parce qu'elle fait partie du sexe faible. Faible ? Ailis ? Laissez-moi rire. Non, elle est forte. Intelligente et belle, mais peut-être trop excessive et pas assez modeste pour accepter d'être l'ombre d'un homme ou le bijou qu'il portera au bras lors des réceptions mondaines. Pas assez raisonnable ou trop frustrée pour se contenter d'un mariage avantageux et abandonner l'idée d'hériter des terres de son cousin.

Enfin, ça, c'est ce qui est dans sa tête. Et croyez-moi, sa tête, on n'y accède pas si facilement. Simplement parce qu'elle reste noble et qu'elle soit pour ou contre, ça ne change rien à l'éducation qu'elle a reçue de sa famille. L'art du paraître et les arcanes du menteur, c'est entre les lettres de l'alphabet qu'elle les a appris. Ses manières comme ses gestes sont souvent empruntés d'une assurance poudrée. Elle n'est peut-être pas de sang pur, mais elle n'est pas une crève-la-faim, et encore moins une rustre. Le port altier est donc de rigueur. Et ce n'est pas son titre ou son nom qui la rendent supérieure à vous, c'est sa personne toute entière. Alors ça transpire l'orgueil que ce soit dans l'attitude de son corps souple aux fines attaches, dans le pli d'une bouche à la fois tendre et moqueuse ou dans ce regard jade et opium qui vous scrute de sous les mèches brunes de sa folle chevelure.

Pourtant, elle est sorcière - et une sorcière des plus douées par dessus le marché - plus qu'elle n'est la parfaite petite dame, c'est indéniable. Les notes qu'elle a en classe, ce n'est pas seulement pour l'esbroufe. Le temps qu'elle passe dans la salle de Duel, ce n'est pas pour faire le spectacle. Et si elle a choisi l'escrime plutôt que le club de couture comme il siérait à une gentille petite fille sage, ce n'est pas un fait anodin. Sa voix un peu cassée, pas désagréablement piailleuse contrairement à certaines camarades, possède des inflexions rugueuses, autoritaires et il est difficile de rater l'ironie qui joue les notes de fond. Mais même sans ça, la plupart de ses camarades le sentent bien d'instinct. Que derrière les sourires et ce regard qui brille toujours, mais ne reflète jamais rien d’autre que votre propre personne, que derrière les masques et les belles robes, se cache une demoiselle dont les mots ne sont pas les seules armes. Et pour qui la fin justifie souvent les moyens. Car Ailis est déterminée, elle est extrémiste.

Pour le meilleur comme pour le pire.

crédit bannière : Misery Business

Bienv'nue toi

Bienvenue nous ! « L'exigence de liberté est une exigence de pouvoir. » ▬ Ailis Ó Meadhra . Complete 800476

Bienv'nue vous « L'exigence de liberté est une exigence de pouvoir. » ▬ Ailis Ó Meadhra . Complete 302421

« L'exigence de liberté est une exigence de pouvoir. » ▬ Ailis Ó Meadhra . Complete 367183

Messages : 46 Date d'inscription : 02/07/2010 Humeur : Taquine

Welcome ! :DD

Bienvenue très chère « L'exigence de liberté est une exigence de pouvoir. » ▬ Ailis Ó Meadhra . Complete 853966

Bienvenue

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Bienvenue sur le forum Ailis. Wink

Je te réserve l'avatar ( « L'exigence de liberté est une exigence de pouvoir. » ▬ Ailis Ó Meadhra . Complete 297495

) et te souhaite du courage pour finir ta fiche ! D'ailleurs, tu as dix jours, à partir d'aujourd'hui, pour la finir !
Voilà voilà, bonne chance :)

Salut =D
Camille Belle, quel excellent choix d'avatar !! x] Bienvenue à toi & courage pour la fiche ^^

Un double poste pour vous informer que la fiche est terminée. ^^

Coooool =}

Que dire si ce n'est que je suis fan du personnage ? Commence à chercher une idée de lien parce que je vais forcément venir t'en demander un dès que ta fiche de liens sera créée.
Quoi qu'il en soit, bienvenue à toi !

Vert et argent
...........................................Serpentard
*« Ruse et orgueil. »

P.S: Tu peux désormais créer ta fiche de liens ( très conseillé) et n'hésite pas à aller voir les autres pour te tisser ton réseau, comme un vrai poisson dans l'eau ! De même que tu peux dès maintenant commencer à rpger si tu veux même si tu ne connais personne Wink

(ici)

Merci beaucoup ! ^^

» Ailis Ó Meadhra