Tout est une question de charisme __ Thomas

Tout est une question de CHARISME

▪▪▪ Bonjour Aaliyah ▪▪▪ Bonjour Terence ▪▪▪ Bonjour Aaliyah ▪▪▪ Bonjour Drew ▪▪▪ Et cela continuait tout au long de mon chemin vers la grande salle -rebaptisé la pyramide de Kelsen- pour pouvoir prendre mon petit déjeuner. Je n’étais pas la jeune femme la plus avenante de la terre et il était clair que les étrangers n’étaient pas toujours les plus appréciés de l’école comme nous venions, généralement sans titre, avec nos propres connaissances mais j’avais appris à me faire apprécier un minimum. Non pas que je le recherchais particulièrement mais je ne cherchais pas non plus à m’en débarrasser. Après tout j’étais une jeune femme de bonne famille avec une prestance naturelle que beaucoup pouvait m’envier mais qui venait de ma mère qui était une femme particulièrement charismatique. J’étais franche sans jamais, pour autant, manquer de respect aux autres -je ne savais que trop bien les règles dans ce monde comme elles étaient les mêmes chez moi- mais je n’en étais pas pour autant aussi intouchable que tous les titrés comme je parlais avec tout le monde. Pour moi on ne reconnaissait pas quelqu’un à son titre mais à ce qu’il était et Melchior avait beau avoir le monde à ses pieds et nous permettre d’avoir une école beaucoup plus confortable qu’elle n’était jusqu’à présent -même si elle ne pourrait jamais égaler Durmstrang qui était l’école la plus parfaite au monde- je savais qu’il ne resterait pas longtemps à sa place. Il y avait trop de choses qu’il ne savait reconnaitre et tourner le dos ou bien ignorer ce qui pouvait être dangereux pour soi-même n’était jamais une des meilleures idées qu’il soit. Enfin… A voir… Moi j’étais ici car j’avais désiré –et mon frère après moi- voir le monde par mes propres yeux et non pas avoir l’esprit aussi étriqué que pouvait l’avoir les descendants de famille aussi puissante que la mienne. J’étais un peu en dehors de ce monde et je continuais d’observer. C’était ce qui me plaisait le plus avant d’agir.

Je m’installais à la table des gryffondors comme le chapeau miteux qui leur servait pour répartir les gens avait décidé que je devais aller là-bas et je saluais d’un léger signe de tête les personnes qui me saluaient à leur tour sans faire attention au regard noir d’Iris et de ses copines. Un petit sourire se dessina sur mes lèvres alors qu’elle commençait ses railleries et que je repoussais ce qui était devant mon nez pour pouvoir prendre dans un autre plat. J’entendis un soupir de leur côté et me mit à sourire. Oui je commençais à savoir comment elle fonctionnait et les guerres de gamines ça commençait à me fatiguer. La première année j’avais trouvé cela marrant et, comme je n’étais pas la dernière à m’amuser, je lui avais mis autant dans la tête qu’elle m’en avait mis mais, au bout de deux ans, ça commençait à bien faire. Il était temps qu’on mette les choses au point toutes les deux. Enfin ce ne serait pas pour ce matin-là aussi je me contentais de prendre mon petit déjeuner et de commencer ensuite ma journée de cours. Cela n’était qu’une formalité pour moi. J’aimais les cours. Je n’avais jamais eu de mal à me concentrer et cela coulait de source. L’apprentissage permettait d’avancer et de faire ce qu’on désirait faire. Quoi de plus logique que je travaille à partir de ce moment-là ? La connaissance était la meilleure des armes pour moi.

Vers 17h3o la journée était terminée aussi je remontais vers la salle commune des gryffondors et j’avais à peine passé la tapisserie que j’étais étonnée du silence de la salle. C’était bien la première fois que je voyais aussi peu de monde mais, avec la présence de Melchior, tout le monde avait envie de briller et de se faire de nouveaux amis pour pouvoir avoir une situation plus intéressante dans ce monde donc ils allaient essayer de discuter avec les nouveaux arrivants et, pour beaucoup, ils avaient juste envie de briller. N’ayant pas besoin de cela comme j’avais déjà ma place en Norvège qui m’attendait une fois que j’aurais fini mes études, je me contentais de monter dans ma chambre pour pouvoir y poser mes affaires de cours et défaire ma capeline droite de Durmstrang. Par habitude je regardais sous mon oreiller pour voir si je n’avais pas de mot mais il y en avait un que je lus rapidement, un petit sourire sur les lèvres. Un simple mot pour me faire penser à lui. Je connaissais ses manigances et cela m’amusait plus qu’autre chose aussi je me contentais de penser à ce que j’allais répondre avant de revenir vers la salle commune pour pouvoir jeter le mot dans le feu.

Ce fut à cet instant que je remarquais Thomas qui était posé en train de travailler. Ayant travaillé sa façon de se tenir, il était posé nonchalamment sans pour autant donner l’impression d’être écroulé. Non au contraire. Cela donnait une nonchalance attirante qui me fit sourire quand je vis deux gryffondors pousser un soupir en le regardant. Le connaissant bien je remarquais un petit sourire qui naquit aussi sur ses lèvres et qui voulait dire qu’il les avait entendu comme il se redressait légèrement. Amusée de ce petit jeu, je me penchais derrière lui pour aller lui murmurer à l’oreille. ▪▪▪ Si tu les regardes, elles vont tomber de plaisir, fais attention quand même… Il serait dommage de faire fondre les tartes, on risque d’en manquer. ▪▪▪ Méchante ? Aucunement. Réaliste juste et je lui adressais un charmant sourire quand il me regarda avant de m’installer avec grâce à ses côtés avant de sortir un grimoire de la taille de la paume de ma main que je me mis à déplier au moins 12 fois avant qu’il ne soit à la bonne taille. ▪▪▪ Tu travailles quoi ? ▪▪▪

Le charisme, long chemin vers l'ascendance, sûrement une des qualités les plus dures à acquérir pour être apprécier des autres et accroître sa popularité . Cela Thomas l'avait bien compris, et comptait en faire une de ses armes majeures pour faire connaître à tous le nom des Hamiltons et être la fiéreté de ses parents qui ont toujours cru en lui. Mais le chemin vers le charisme peut-être jonché d'obstacles, des personnes prêtes à tout pour réduire ce charisme, cette popularité acquise. Ou d'autres qui vous suivent et qui vous porte avec eux même dans les moments les plus durs. Si Thomas est aussi perfectioniste c'est parce qu'il sait ce qu'il veut et ce qu'il veut devenir, un très grand sorcier dont on n'oubliera jamais le nom. Mais le chemin est long ... Très long même et parssemé d'embuches. A Poudlard pour avoir respect et compassion, il ne faut pas seulement être bien habillé, charmant ou bien même être titré, il fallait aussi montrer que l'on est brillant un peu partout, se faire remarquer de telle ou telle façon ...

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PROFESSEUR << Miss Kellerman, pouvez-vous arrêter de fixer Mr Hamilton ? Il y a bien plus interressant à regarder ... Comme le cours d'histoire de la magie, vous ne trouvez pas ? >>

Thomas sourit et La jeune femme elle, se mit à rougir, la réfléxion du professeur l'avait génée, elle n'osait même pas répondre au professeur. Elle se réinstalla donc correctement sur son banc pendant que le prof reprit la parole :

PROFESSEUR << J'ose espérer que vous aviez quand même écouter la plupart de mon cours jeune fille, ce serait embêtant de rater le devoir que je vais vous remettre à tous avant que la sonnerie ne retentisse >>

Le professeur sortit sa baguette et d'un coup, des feuilles se mirent à voler en direction des élèves. Thomas réussit à en attrapper une et le rangea correctement dans son cours avant de prendre la sortie, une farde à la main pour se diriger vers la salle commune afin de commencer son devoir histoire de gagner du temps. Il s'installa convenablement, sortit ses affaires afin de travailler, c'était le lieu idéal, pas trop de bruits juste des filles qui se mit à observer Thomas qui bloquait sur une question accoudé sur la table, ses lunnettes de lecture sur le nez. Il fit encore plus perturbé quand les deux filles se mirent à soupirer, pourquoi donc ? Thomas allait bientôt le savoir, il se redressa donc et appercut deux jeunes filles en train de le regarder. Thomas leur jeta un léger sourire avant de reprendre sa lecture ... enfin presque puisqu'une douce et familiaire voix lui vint aux oreilles.

AALIYAH << Si tu les regardes, elles vont tomber de plaisir, fais attention quand même… Il serait dommage de faire fondre les tartes, on risque d’en manquer. >>

Thomas se retourna et sourit quand il apercut que c'était Aaliyah qui venait de lui parler, une fille très sympa avec qui il s'entend très bien. Celle-ci a un peu le même caractère que Thomas et le hasard a bien fait les choses quand le prof lui avait demandé de faire équipe avec elle lors d'un travail de groupe. La jeune femme jeta un oeil sur ce qu'était en train de faire Thomas puis, en s'installant convenablement à ses côtés, lui demanda ce qu'il pouvait bien fabriquer avec son cours.

THOMAS << Ah heu, le devoir d'histoire de la magie, comme ça c'est fait et je n'oublie rien d'important concernant le cours d'aujourd'hui ...>>

Thomas retira son coude et lui sourit à nouveau, ce qui rendait jalouse les deux jeunes filles mais qui amusait certes le jeune Gryffondor. Celui-ci ne comptait pas en rester là et continua la conversation avec elle afin de rendre les filles encore plus jalouses. En effet, il faut aussi savoir se faire désirer pour arriver à ses fins.

THOMAS << Et toi, tu fais quoi ici ? T'es toute seule ? >> lui demanda Thomas en jettant un oeil autour de lui.

Le charisme était un art que beaucoup ne pouvait pas maitriser et qu’ils ne maitriseraient jamais. De plus, pour moi, je trouvais que le charisme allait aussi de pair avec l’âge. Il n’y personne de plus charismatique que mon grand-père quand il était encore en vie. Il avait beau être âgé, il entrait dans une pièce et tout le monde ne pouvait faire autrement que de se taire et de le respecter. Il n’avait pas besoin de donner l’impression d’être puisant, il l’était tout simplement. On écoutait ses conseils, on s’inclinait devant lui, on baissait le regard. Il donnait l’impression d’être aussi bien un homme de confiance à quoi on pouvait tout dire qu’un homme de pouvoir qui mènerait sa famille jusqu’au bout de ses ambitions. Quand il était mort c’était mon père qui avait repris ce rôle bien entendu et autant dire qu’il était aussi charismatique que lui-même s’il n’était pas encore aussi ancien que lui bien entendu. Mon père était un homme que tout le monde respectait. J’étais même la première à désirer savoir être aussi importante et respectée que lui, même si je n’avais pas exactement les mêmes idées. Il fallait, parfois, évoluer avec son temps si on ne désirait pas que ce soit la vie en elle-même qui vienne vous éjecter de votre parcours et c’était une notion que mon père n’avait pas. Je ne lui reprochais rien comme notre famille ne serait pas où elle en était s’il n’avait agi ainsi mais je pensais tout de même que nous pouvions faire plus. Bien entendu ce n’était pas forcément à moi de penser à tout cela comme je n’étais pas l’héritière de la famille mais au vue des ambitions de mon frère, je préférais y travailler tout de même.

En attendant cela m’avait toujours fait sourire de voir Thomas en train de jouer sur son charisme car, pour moi, à 18 ans, il était plus charmeur que charismatique et c’était ce qui plaisait aux filles. La preuve, elles étaient en train de fondre de désir devant lui alors qu’il se contentait de leur sourire une fois de temps en temps histoire d’entretenir la flamme. Etant une charmeuse aussi, je ne pouvais qu’acquiescer à son petit jeu qui était amusant et qui permettait de faire le spectacle en plus. Surtout quand on était en cours et que certains de nos professeurs ne pouvaient s’empêcher d’afficher les blondinettes de la classe qui étaient en train de baver devant un des mecs gryffondor les plus en vue de notre maison. Etant assez studieuse je devais avouer que cela me faisait toujours râler de devoir m’arrêter dans les cours parce qu’il y avait deux blondes qui étaient en train de baver devant Thomas et qui dérangeaient le professeur. Bon en histoire il y avait un vieux fantôme qui n’avait pas encore compris qu’il était mort -si j’avais tout bien compris à ce qu’on m’avait expliqué- et donc il était à l’ouest mais pour ce qui était des aides qu’il avait ou bien des autres cours, c’était à chaque fois la même chose et j’avais déjà fait une ou deux réflexions pas très agréables. Je faisais attention aux titres de noblesse mais ce n’était pas pour autant que j’étais une hypocrite aussi je préférais dire ce que j’avais sur le cœur. Au moins j’étais tranquille comme ça.

Je murmurais quelque chose à l’oreille de Thomas avant de m’installer gracieusement à ses côtés. Je savais très bien que cela n’allait pas être au gout des deux jeunes femmes mais, à vrai dire, je me moquais pas mal qu’elles puissent m’en vouloir. De base je n’étais pas forcément, de toute façon, une jeune femme des plus emmerdées comme la réputation de ma famille calmait rapidement les gens. Cela ne m’empêchait pas qu’on m’ait rendu populaire au début à cause aussi de mon niveau d’étude mais, socialement, je n’étais pas toujours la personne qu’on jugerait comme la plus avenante. Ridicule car j’appréciais facilement de parler aux gens. Enfin le sujet n’était pas là et je me reconcentrais sur ce que Thomas était en train de faire. ▪▪▪ Ah heu, le devoir d'histoire de la magie, comme ça c'est fait et je n'oublie rien d'important concernant le cours d'aujourd'hui ▪▪▪ Tu as bien raison. Surtout que je trouve qu’on ne fait vraiment pas le plus intéressant en ce moment donc les heures de cours sont longues. ▪▪▪ Surtout avec ce professeur mais bon, on s’y faisait. Personnellement j’ai pris beaucoup de notes et j’avais déjà commencé à travailler à moitié pendant le cours comme je connaissais déjà le chapitre donc je n’avais plus qu’à remettre en forme et ce serait parfait. ▪▪▪ Et toi, tu fais quoi ici ? T'es toute seule ? ▪▪▪ Je fuyais tes comparses pour éviter les piaillements des filles devant les titrés. ▪▪▪ Hélas il y en avait aussi dans notre maison mais il fallait bien faire avec. Bon après j’étais aussi venue ici pour jeter un papier dans le feu mais ça c’était une histoire entre Gabriel et moi aussi je le gardais pour moi. Je n’étais pas une menteuse mais je protégeais aussi ce qui faisait partie de ma vie et là c’était trop gros pour que je le jette en pature à mes camarades.

Croisant mes jambes je me mis élégamment sur le côté pour pouvoir regarder Thomas en discutant avec lui. Mon regard blanc trouva rapidement le sien et je posais mon coude sur le dossier du canapé en posant nonchalamment la tête dans ma main. Les deux jeunes filles étaient en train de bouillir mais cela m’amusait plutôt qu’autre chose à ce moment précis aussi je me contentais de rester mon regard fixé sur mon camarade de classe. ▪▪▪ Ça me fait penser qu’il faut qu’on travaille la métamorphose si on veut garder notre première place. ▪▪▪ On était toujours en groupe tous les deux pour la méta et on avait la première place pour l’instant au vue de notre travail sur la métamorphose d’un animal aussi il serait bête de perdre cela quand même. ▪▪▪ Même si ce n’est pas le second groupe qui va nous dépasser. T’as vu leur échec l’autre jour ? ▪▪▪ Cela avait été violent de voir notre camarade se faire attaquer par l’araignée sur laquelle il travaillait. Enfin cela avait mis de l’action mais quand même U.U

Le fait de se faire remarquer aidait énormément Thomas à se faire une réputation, à se faire respecter et admirer mais c'est ce que nous sommes vraiment qui fait de nous quelqu'un d'extraordinaire; quelqu'un de différent. Car pour se faire un nom à Poudlard, nul n'est nécessaire de posséder un titre, mais de se détacher des autres, de se surpasser, de se montrer et d'aller vers les autres. La lignée des Hamiltons ont transmi ce savoir, cette éducation de génération en génération et on peut dire que cela leur avait bien porté ses fruits jusqu'à maintenant, dans ce monde où l'erreur est presque impardonnée, et où l'on cherche le seul défaut qui ferait de vous un être petit, sans aucuns intérêts et tout cela pour vous rabaisser.

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AALIYAH << Ça me fait penser qu’il faut qu’on travaille la métamorphose si on veut garder notre première place. Même si ce n'est pas le second groupe qui va nous dépasser. T'as vu leur echec l'autre jour>>

Cette compétition ? Elle était permanente à Poudlard avec la coupe des quatres maisons qui mettaient un peu de pression aux élèves ainsi que les examens. Son amie Aaliyah elle, désire la même chose que Thomas, se faire respecter et si pour se faire il faut être les premiers de classe, il s'agit évidement d'une occasion aussi bien pour l'un que pour l'autre de gagner encore plus de respect envers les professeurs que les élèves eux-mêmes. Qu'ils soient émerveillés, tel est le terme exact. Thomas aimait beaucoup travailler avec elle, elle qui a toujours le mot pour rire, cette ironie que peu de personnes ont.

THOMAS << De toute façon, on est le meilleur binôme de la classe, alors comment veux-tu qu'on échoue la dessus ? Ce n'est quand même pas deux poufsouffles qui vont nous voler la vedette surtout après avoir fait fuire la prof parce qu'ils ont transformé ce pauvre escargot en arraignée ... >>

Thomas se mit à rire, faisant fantasmer encore davantage les deux jeunes filles installées non loin de lui, avant de reprendre plus sérieusement :

THOMAS << Si tu veux on peut toujours aller au manoir de ma famille tester deux-trois trucs demain après les cours parce qu'ici, j'ai pas envie de me faire suivre par les deux tartes en face de nous comme tu dis si bien . On sera plus tranquille chez moi, si tu vois ce que je veux dire. A moins que tu ne puisses arranger cela et les faire déguerpir ? Je ne vois pas ce que l'on pourrait faire d'autre >>

reprit Thomas en se recoiffant et en prenant soin de ranger ses affaires dans son sac avant de pouvoir se relever sans grandes difficultés de ce fauteuil très luxueux et très douillet qu'est celui que porte les couleurs rouges et or de la maison Gryffondor.

» Thomas J. Hamilton
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» Assez de ces séries princières stupides. ♠ Thomas.
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